nom fém.
date COTTE
FEW XVI 346b : kotta COTÈLE PELETTE TOILE TUNIQUE O la vessie pres de son col sont continuez les porres uritides, portans l'orine des reins, entrans es pertuis de lacotede la vessie par dehors pres du col. Anon. [Henri de Mondeville], Chirurgie, 1314, p. 119. Les VIIcotessont VII pellettes ou VII telles qui environnent ces III humeurs et les devisent l’une de l’autre et ou milieu d’eulz se fourme la veue et sont ainsi ordenés de nature, car IIII de cescotessont en l’ueil en la partie devant, desqueles la premeiere est appellee telle d’araigne, la seconde est appellee telle de noir roisin, la tierce est appellee de cor, et la quarte est appellé telle conjonctive, pour ce qu’elle conjoint les aultres ensemble. Les autres troiz telles oucotessont en l’ueil en la partie desquelles la premiere est en maniere d’une roys, l’autre est appellé secondine et la tierce est appellé la dure. Jean Corbechon [Barthélemy l’Anglais], Proprietés de choses couleurs, 1372, livre V, chap. 5. Tissu vivant mince et souple, qui forme ou recouvre un organe, ou qui tapisse une cavité. Et se li apostemes tient .i. nout gras, si le cope selonc ceste forme, dou lonc; et i giete tes oncines, et l’escorche de toutes pars, et met toute ta cure de traire fuer lacotteou il gist; et se li artere te fait contraire, si fai ceu que je t’ai dit après. Anon. [Albucasis], Cyrurgie, ca 1250, fol. 31rb. Tissu vivant mince et souple, qui forme ou recouvre un apostume*. COTE [...] mout a vesture [l'oignon] :/Cotesa bonnes et plurieurs. Anon., Rosarius prop., 2e quart du XIVe s., II, chap. 14, v. 10-11, p. 469. Chacune des enveloppes constituant un bulbe, tunique.