nom masc.
date DOS
FEW III, 144a dorsum Et l’une part, celle ou il a une roe qui se tourne, est appellé visage ou face, et l’autre part est dicte le dos. Pèlerin de Prusse, Praticque de astralabe, 1362, p. 34. Apres au costé de derriere de l'astralabe que on appelle le dos premierement sont les nombres pour prendre la haulteur du soleil et des estoilles. Jean Fusoris, Traité des usages de l’astrolabe, ca 1410, 111.

Face postérieure d'un astrolabe.

[...] et por ce les escalles des poisons de mer et lur elles sunt plus grosses et durres que des poisons d’eiwe douce et les crestes du dos sunt grignor et plus fors qu les escales du ventre, car li dos est plus sec que ne soit li ventres. Jofroy de Waterford, Secret des Secrets, Diet., ca 1300, l. 1875-78. Et ceste conjonction des spondilles est apelee l'espine ou le dos, et est fondement de la force de tout le cors. Anon. [Henri de Mondeville], Chirurgie, 1314, chap. 474, vol. 1, p. 121. Toutes douleurs qui descendent du doz aux coutes sont garies par saignee. Martin de Saint-Gilles, Amphorismes Ypocras, 1362-1363, p. 92. Pource dont font il oindre l'espine du dos et les extremités d'aucunes oeles chaudes et convenables a ce ; Et ce font il principalment es fievres quartes et Cotidianes. Evrart de Conty [Aristote], Problemes, ca 1380, I, 56, fol. 54v.

Partie postérieure du corps humain et animal, dos.