Il s’agit d’une métaphore pour désigner le passage à la pureté d’une substance ou métal par l’effet d’une « eau sept fois distillée », autrement dit le mercure des philosophes ou pierre philosophale [A. Calvet].
Traduction du latin matrimonium tincturarum [A. Calvet].
Et ceste eaue sept fois distillee metez apart. Car elle ne est autre chose que mercure des philozophes qui fait le fort matrimoine.
Passage à la pureté d'une substance ou d'un métal par l'effet de la pierre philosophale.