Que le medecin se demonstre selon ce qu'il appartient, aussi que le malade, que presens etassistens, que choses de par dehors se monstrent selon ce que doivent estre.
Martin de Saint-Gilles, , 1362-1363, 53.
Nous devons oultre savoir que, selonc ce que Ypocras ensengne u commencement de ses Amphorismes, il y ha quatre choses qui sont generalment requises Et necessaires en la cure des maladies, est a savoir: la bonne science du medecin, la bonne obeïssance du pacient, le bonne habilité desassistenset des serviteurs, Et le bonne application des choses foraines, si comme sont le air, les viandes Et les autres choses non natureles touchies u commencement de cest livre.
Evrart de Conty [Aristote], , ca 1380, I, 56, fol. 54v.