[…] aussi fait la marriz; se convertit au sparme a la semence selon chacune partie, et au sang menstru, et les touche pour mieux digérer; et, en telle comprehension etavironnementl’oriffice de la marriz est cloz, si que a paine y entreroit le cul d’une aiguille, ce dit Galien […]
Martin de Saint-Gilles, , 1363, p. 132.
[...] pource avient il que la vertu de l'omme, qui est chaus et ses, comme dit est, pour la chaleur de l’esté ajoustee, en est afebloÿe et mains poissans a le oeuvre desus dite, et la fame au contraire pour la froidure et pour le humidité de sa complexion, qui est fortefiie par leavironnementde son contraire, est a ce fait adont plus esmeüe et plus poissans de la chose parfaire.
Evrart de Conty [Aristote], , ca 1380, IV, 25, fol. 116r.