Il avient aucuneffois nuisemens et empescemens aux vignes et aux plantes, si que elles meurent le premier an ou elles demeurent demi vives. Et ce avient aucuneffois pour les herbes qui croiscent encoste, pource que leurs racines ostent la nourriture aux vignes, et le remede si est par le souvent fossoier etarrachierles herbes.
Anon. [Pietro de' Crescenzi], Livre des prouffitz champestres et ruraulx, 10227, 1373, IV, chap. 18, fol. 82v.