De la .1., c'est a savoir de la maniere de curer les plaies fraisches penetrantes a la concavité du pis, de quelque partie que ce soit, a savoir est que il sont auques par tel maniere curees, comme sont les plaies du cran qui sont penetrantes, c'est a savoir en ostant les extrinseques qui sont par dehors, ect., en faisant (les autres choses) et en donnant la poudre o le pigment, adjouste toutevoies que toutes ces plaies et les plaies du ventre doivent plus tost estre closes, et plus fort et plus espessement estreahonnieeset aunees et plus estroitement estre cousues, ja soit ce que il soient meneurs que les plaies des autres membres.
Anon. [Henri de Mondeville], , 1314, chap. 1131, p. 262.
La .2. a ce que les choses descontinuees, aussi comme se une partie de nés estoit deperdue, et incisions fussent relachiees par violence et peusent estre traites etaonieesensemble, tant que il puent estre encharnees sus la deperdicion du nés, et que il la peussent couvrir et en aucune maniere restablir.
Anon. [Henri de Mondeville], , 1314, chap. 2145, p. 199.