Comme il soit ainsi que les femmes soient naturellement froides et moistes, pour quoy sont elles plus ardans et voulans en la copulation charnelle que les hommes, les quelz sont naturellement chaulz ?
Anon., , fin XIIIe s., p. 255
... car les hommes en doibvent aulcunement entendre, a celle fin que ilz n’aient pont copulation a elles, tandis que elles ont leurs fleurs...
Anon., , fin XIIIe s., p. 264.