A l'aournement de l'air appartiennent les oiseaulx et toutes choses qui volent si comme dit Bede. [...] Les oiseaulx sont ainsi appellez pour ce qu'ilz sont sanz voix pour ce que leur voix n'est point distincte en l'air ne determinée.
Jean Corbechon [Barthélemy l’Anglais], , 1372, XII, f. 164v.
La seconde est fisique, par cui nos savons la nature des choses qui ont cors et conversent entre les [cor]por[au]s choses, c’est a dire des homes et de bestes, des oiseaus, des poissons, des plantes et des pierres et des autres corporels choses qui sont entre nos.
Brunetto Latini, , 1268, I, 3.