En amptonne, plusieurs des maladies d’esté sont engendrees; maiz avec ce, fievres quartes, fievres errantes, splenes, ydropisies, ptisiques, ulceracions, strangurie, lienterie, sciades, squinance,anelitus, yliaque passion, epillencies, manie, melancolies.
Martin de Saint-Gilles, , 1362-1363, p. 69.
aucunefoiz, l’omme s’apareille d’atraire l’air et se drece a soy lever, et ne peut néant soustenir sur la poitrine, et ceste maniere est apeleehanelitus, ou halainement profoqué, ou suffoqué, ou destaint ;
Martin de Saint-Gilles, , 1363, p. 203.
La seconde maniere ou espece, c'est quant l'air ne peut estre tiré au cueur souffisamment, pour ce que la canne du polmon et le pis ne se peuvent eslargir et l'appelle onanhelitusou anhelosus.
Anon. [Bernard de Gordon], , ca 1470, IV, 8.