Aprés est li Henas Bachi, c’est uneconstellationsdum aucun philosophe distrent que les ames, quant ele[s] venoient a cel signe por descendre es cors, qu’eles estoient si enivrees qu’eles obliaient quantquez eles avoient seü des celestials choses et amoient les terrianes..
Anon., , ca 1260, XV, 3, p. 46.
Les planeitez par diversezconstellationset le soleil par plusors movemens regardent en .I. temps une partie de la terre autrement que en autre partie.
Mahieu le Vilain [Aristote], , ca 1285, I, fol. 17va.
Le vent croist en .I. temps quant uneconstellationnaist que l’en apele Orion et quant ele resconse.
Mahieu le Vilain [Aristote], , ca 1285, II, fol. 25ra.
Et par ceste maniere, uneconstellacionqui est vers aquilon, i.e. maior ursa que nous appellons le char, ne va pas a reculons le char devant les buefz, si comme il yroit posé que il fust meu de mouvement journal, mes va par droit ordre.
Nicole Oresme [Aristote], , 1377, II, 25, p. 534.
Ceste estoille dont est maintenant ou quint degré du cancre en une desconstellationsmeridionals qui est aussi appellee le Chien pour aucune proprieté ou aucune nature que ceste constellation puet avoir ou regart du Chien.
Evrart de Conty [Aristote], , ca 1380, XXVI, 11, fol.126r.
Il nous convient aussi considerer les natures et les vertus des estoilles fixes, lesquelles, pour ce que elles sont innombrables, furent des anciens ramenees a .xlviij. ymages ou constellacions.
Evrart de Conty, , ca 1400, p. 111.
Nous devons considerer soubtillement que lesconstellacionsdu ciel tendans a une fin s’entretiennent et suivent l’une l’autre et sont ensemble proporcionnees, c’est assavoir bonnes a bonnes, mauvaises a mauvaises.
Evrart de Conty, , ca 1400, p. 37.
Constellation, c’est assemblee de pluseurs estoilles et le regart d’icelle assemblee.
Olivier de la Haye, , 1426, p. 182.
Cestui donna conseil et election d’enclorre Romme de muraille soubz laconstellaciondu signe du Lion, qui est signe royal et de victoire.
Simon de Phares, , 1494-1498, § IV, 30.
il estoit moult perit et expert es actes des festes d’icelui, par especial de VII principalles, lesquelles il compara et apliqua au sept principallesconstellacion.
Simon de Phares, , 1494-1498, § IV, 26.